avec Virginie Venticinque, linogravure et sculpture; Isabelle Fabry et Serge Lorant, céramique;
Lucien Schkoda et Alicia Mottur, peinture; Isabelle Glansdorf et Sandrine de Borman, installations textiles
Lucien Schkoda et Alicia Mottur, peinture; Isabelle Glansdorf et Sandrine de Borman, installations textiles
Promenons-nous parmi les empreintes d'arbres et de plantes de nos quartiers et d' ailleurs, tant qu'il en est encore temps.
Ces plantes dont souvent nous ignorons l'essence,
dont nous avons oublié les principes actifs qui soignent, nourrissent, teignent,
dont nous méconnaissons l'alchimie subtile qui nous rend la vie plus légère;
mais surtout ces plantes qui nous permettent la vie possible sur terre.
Si nous disparaissons, le végétal restera et vivra sans doute mieux sans nous ;
si le végétal disparaît, nous manquerons d'oxygène et disparaîtrons.
Cette forêt d'empreintes est un écho au cri d'alerte du botaniste français Francis Hallé.
Dans ses livres L'éloge de la plante, mais aussi dans son film récent Il était une forêt,
il nous exhorte à regarder les arbres et les plantes de plus près, et en connaître les bienfaits.
Dans cette installation, une des techniques utilisées - le tataki-zomé- extrait par martelage
des feuilles et branches leurs principes actifs, comme les tannins,
tout en révélant la structure des végétaux.
Ce sont uniquement les sucs de la plante qui teintent le tissu.
Promenons-nous donc dans la forêt d'empreintes,
et puisse cela nous donner envie d'observer plus avant les plantes autour de nous,
avant qu'elles ne se passent tout à fait de nous...
Ces plantes dont souvent nous ignorons l'essence,
dont nous avons oublié les principes actifs qui soignent, nourrissent, teignent,
dont nous méconnaissons l'alchimie subtile qui nous rend la vie plus légère;
mais surtout ces plantes qui nous permettent la vie possible sur terre.
Si nous disparaissons, le végétal restera et vivra sans doute mieux sans nous ;
si le végétal disparaît, nous manquerons d'oxygène et disparaîtrons.
Cette forêt d'empreintes est un écho au cri d'alerte du botaniste français Francis Hallé.
Dans ses livres L'éloge de la plante, mais aussi dans son film récent Il était une forêt,
il nous exhorte à regarder les arbres et les plantes de plus près, et en connaître les bienfaits.
Dans cette installation, une des techniques utilisées - le tataki-zomé- extrait par martelage
des feuilles et branches leurs principes actifs, comme les tannins,
tout en révélant la structure des végétaux.
Ce sont uniquement les sucs de la plante qui teintent le tissu.
Promenons-nous donc dans la forêt d'empreintes,
et puisse cela nous donner envie d'observer plus avant les plantes autour de nous,
avant qu'elles ne se passent tout à fait de nous...